Zavatta Achille Fils

Direction Cagniac
Statut: 
En activité

Enseignes

Anciens noms : Zavatta Fils, A.Zavatta fils, Alain Zavatta,  Willie Zavatta Fils (direction Arsène Cagniac)

Faits marquants

Moulins-lès-Metz (57), décembre 2012
Un membre du cirque Achille Zavatta Fils a le bras quasiment arraché par un tigre.

Blois, 19 septembre 2009, vol de 2 lionceaux
Le cirque A Zavatta fils vient de se faire voler à Blois, 2 lionceaux de 5 mois, Chimène et Bagheera. Quelle destination pour ces 2 félins (particulier, trafic, autre cirque ?)... Rapellons, qu'en 2007, lors d'un contrôle de routine, 2 lionceaux de 2 mois avaient été saisis dans le coffre d'une voiture à destination de la Bulgarie. Un des lionceaux avait été vendu non sevré par un cirque bien connu...
24/09/2009 Chimène a été retrouvée dans un bois de Vineuil (Loir-et-Cher), à 7 km environ de Blois, et Bagheera à Angerville (Essonne), à plus de 100 km, toujours de même source.

Quetigny, 10 avril 2009, libération de Kenya
Lire "nos visites" ci-dessous

Février 2009
Un zèbre dans les rues de Montauban.

8 janvier 2008, procès à venir dans l'affaire Kenya
Le 8 janvier 2008, le responsable du cirque A Zavatta fils passera en appel devant le tribunal de Troye pour détention illégale de l'éléphante Kenya. L'éléphante Kenya a alors été confiée à la Fondation Assistance Aux Animaux ce que le directeur du cirque refuse catégoriquement malgré les 6 mois de prison ferme qu'il risque et les 15 années de fonctionnement illégal de son établissement ! L'obtention entretemps d'un certificat de capacité à détenir un éléphant ne remet en rien en cause la détention illégale du pachyderme, ni même l'entrave à une décision de justice le 24 juillet dernier. Remettre en cause le premier jugement serait créer un précédent, qui ouvrirait les portes à tous les abus. Ainsi pourrait-on être condamné en première instance pour conduite sans permis, et être régulariser en appel sous prétexte que le permis a été obtenu entretemps... D'autant qu'aujourd'hui, le cirque n'a toujours pas d'autorisation d'ouverture de son établissement et fonctionne donc en toute illégalité.
De plus dans l'intérêt de Kenya, qui présente déjà d'important troubles du comportement du fait de l'absence d'espace, de l'absence de groupe social, du fait des numéros contre-nature qui lui sont imposés, il reste impératif qu'elle soit transférée, comme initialement prévu, dans un parc animalier.

Saint Geny Pouilly, 24 juillet 2007, Mr Cagniac entrave une décision de justice
Lire récit ci-dessous

24 juillet 2007, Kenya est libérée puis réemprisonnée
Avec l'aide de plus de quarante gendarmes, l'éléphante Kenya, détenue illégalement depuis des années par le cirque de Monsieur Cagniac, vient d'être saisie à St Genis Pouilly dans l'Ain, au bénéfice de la Fondation Assistance Aux Animaux (représenté par Mr Arnauld Lhomme) et transférée dans un parc animalier où elle pourra non seulement redécouvrir le contact avec ses congénères, mais aussi ne plus se voir imposer des mouvements contre-nature. Mais alors que le camion, conduit par Mr Cagniac, s'éloigne du cirque, au bout de 40 km, Mr Cagniac monte sur un terre plein, casse la clef et débarque Kenya au beau milieu de la route, refusant cette saisie. Quelques gendarmes de cette nouvelle circonscription interviennent afin d'éviter un trouble à l'ordre public, tout au long de l'après-midi. Entretemps, Monsieur Cagniac négocie afin de faire reconnaître le nouveau certificat de capacité qu'il vient de décrocher du Ministère de l'écologie. Bien que l'éléphante ne lui appartiennent plus, Kenya est remise au cirque...
Décision hallucinante, car allant à l'encontre de la décision de justice, Mr Cagniac n'étant plus le propriétaire de Kenya à ce jour. Dès lors, capacitaire ou non, Kenya n'a plus lieu d'être dans ce cirque... Qui fait donc la loi dans ce pays ? Les cirques ou la Justice ? L'affaire ne s'arrêtera donc pas là.

Troyes, 13 juillet 2007, condamnation confirmée
Le Tribunal de Grande Instance de Troyes confirme la condamnation de Monsieur Arsène Cagniac pour détention illégale de l'éléphante Kenya, qu'il refuse de remettre aux autorités. La saisie de l'animal et du camion est confirmée, et 6 mois de prison ferme sont prononcée à l'encontre du directeur.
Par décision de justice, en mai 2007, l'éléphante Kenya bénéficie d'un retrait (avec exécution provisoire) en faveur de la Fondation Assistance Aux Animaux.

Bar-sur-Aube, 30 mai 2007, saisie avortée
Le mercredi 30 mai, la gendarmerie de Bar-sur-Aube se présente au cirque. Il faudra plusieurs heures pour trouver Kenya "planquée" dans un camion. Le directeur Mr Cagniac, condamné à 5 mois de prison ferme, est interrogé. Celui-ci refuse catégoriquement que Kenya soit replacée dans un zoo ou un parc.
Aussi scandaleux que cela puisse paraître et malgré la décision du Tribunal de Grande Instance, les forces de l'ordre estiment que face au refus du directeur, elles ne peuvent prendre le risque d'une altercation... Les menaces du directeur prennent donc ainsi l'amont sur la justice et Kenya groupit toujours reste esclave de ce cirque. Autant dire que nous ne pouvont accepter ce fait.

Amiens, 16 mai 2007, condamnation d'Arsène Cagniac
Le Tribunal de Grande Instance d'Amiens vient de condamner monsieur Arsène Cagniac, responsable du cirque Zavatta à 5 mois de prison ferme, 5000 euros d'amende et au retrait de Kenya, l'éléphante d'Afrique détenue illégalement depuis de nombreuses années. Le tribunal a ordonné l'exécution provisoire, ce qui signifie donc que quelque soit les recours, la décision de justice doit être appliquée.
A noter que ce cirque avait déjà été condamné en 1995 pour les mêmes faits, défaut de certificat de capacité et défaut d'autorisation d'ouverture.

2004, animaux disparus ?
L'hippopotame et l'éléphant Tembo ne sont plus dans le cirque. L'hippopotame aurait été envoyé en Espagne.

28 novembre 2002, la justice ordonne la confiscation d'un hippopotame
NEVERS (AFP) - Un directeur de cirque a été condamné à un mois de prison avec sursis et 600 euros d'amende pour mauvais traitements envers un hippopotame par le tribunal correctionnel de Nevers qui a également ordonné la confiscation de l'animal, qui finira ses jours en Angleterre.
Arsène Cagniac, directeur du cirque Alain Zavatta, était poursuivi pour quatre infractions relevées lors de son passage à Nevers en septembre 2001, et notamment pour les conditions déplorables dans lesquelles l'hippopotame était transporté. Selon les services vétérinaires, l'animal vivait dans une bassine remplie de 20 litres d'eau à peine, alors que ces mammifères ont besoin d'un minimum de 5.000 litres pour vivre.
A l'audience, mardi, l'inspecteur de la Direction des services vétérinaires a affirmé que M. Cagniac, "réfractaire à toute législation", avait déjà été condamné "plusieurs fois parce qu'il n'avait pas les autorisations nécessaires pour ses animaux".
Le tribunal n'a pas suivi totalement les réquisitions du procureur de la République, qui avait aussi réclamé la confiscation de deux éléphants pour qu'ils soient remis à l'association anglaise Animal Defenders afin de "finir leur vie décemment".

Juin 2000, le cirque menacé de fermeture
Le Progrès du 08/06/2000 : « Le cirque Zavatta menacé de fermeture : Arsène Cagniac, dompteur et responsable du cirque, ne dispose pas de certificat de capacité, ni du diplôme requis pour exercer le domptage. Tigres, éléphants et hippopotames, sont ‘hébergés’ en toute illégalité. En 1995, déjà, M. Cagniac avait été condamné pour les mêmes faits..."

Les animaux qu'il détient

Dernière visite: octobre 2017

En images

Novembre 2016

Lamas attachés très court

Avril 2009
Suite à sa libération, à son arrivée au safari parc de Peaugres, Kenya a pu être examiné par un vétérinaire. Son état est mauvais (maigreur, déshydratation, problème aux pattes...). Aussi, si nous ne doutons pas de l'attachement que peut avoir la famille Cagniac pour elle, il n'en reste pas moins que Kenya ne vivait pas dans des conditions acceptables (absence de groupe social, aucun point d'eau, exercices contre-nature...).
Le cirque souhaite d'ores et déjà la récupérer (bien qu'il n'en soit plus propriétaire). Nous espérons toutefois que la famille Cagniac saura faire passer l'intérêt de cet animal avant les intérêts mercantiles, ce serait un belle illustration de l'amour qu'ils disent lui porter...

Libération de Kenya (photos Code animal)
Quetigny (Côte d'or), 6h50, le 10 avril.

24 juillet 2007
Mr Cagniac entrave une décision de justice

Le transfert de Kenya empêché par M. Cagniac
Saint Geny Pouilly (01), 40 gendarmes arrêtent le convoi du cirque sur la route afin de faire exécuter la décision de justice.

Mai 2007
En plus de Kenya, 3 autres éléphants d'Afrique viennent d'intégrer le cirque depuis ce printemps 2007. Il s'agirait de Tembo (25 ans), Suna (22 ans) et petite Lili (17 ans) "du dresseur" Ronald Spindler. Ils sont enchaînés aux pattes et n'ont pas d'eau malgré l'importance fondamentale de l'eau et de l'élément aquatique pour cette espèce. Les trois éléphants présentent des mouvements stéréotypiques (balancement d'une patte sur l'autre), preuve d'un problème d'adaptation à cette captivité si précaire.

Dijon - Photos d'Ingrid
Kenya, éléphante d'Afrique détenue illégalement dans le cirque de Mr Arsène Cagniac, condamné depuis 1992 !

Juin 2006

Dans le Bas-Rhin
Kenya

Les animaux qui ne sont plus là...

  • L'éléphante Kenya, jusqu'en 2009